RÉSOLUTION DES CONFLITS ÉMOTIONNELS

RESOLUTION DES CONFLITS EMOTIONNELS - INTRODUCTION

Avant de commencer, je tiens juste à préciser que rien de ce qui est exposé n’entend se substituer à la médecine académique et officielle. À ce jour, les découvertes du Dr. Hamer n’ont encore été ni vérifiées ni reconnues par la Médecine officielle. Je rappelle au lecteur que ce texte n‘entend se substituer à aucun diagnostic et à aucune thérapie médicale, mais que le lecteur doit s’adresser à des thérapeutes compétents pour comparer les bénéfices et les risques des thérapies actuellement existantes.

RESOLUTION DES CONFLITS EMOTIONNELS - EFFET INFLAMMATOIRE

Un effet inflammatoire est le symptôme qui indique que vous avez guéri un ou des conflits émotionnels vécus dans le passé. Au cours de mes consultations, je rencontre différents cas qui ont un dénominateur commun que je nomme « problématique émotionnelle non résolue ». Ces différentes problématiques émotionnelles ont des répercussions biologiques plus ou moins importantes. Il est tout à fait possible de corriger cela en travaillant avec la personne. Mon travail permet de comprendre les émotions et leurs origines, il offre donc la possibilité d’intervenir et de corriger les conséquences que peuvent avoir certains évènements sur notre vie. Cet article est destiné à ceux qui sont venus et qui viendront me consulter (soins à distance) afin qu’ils changent leur regard sur les « problèmes » pour qu’ils puissent aborder et comprendre les symptômes qui peuvent se déclencher suite à une consultation ou même dans leur vie quotidienne. Je souhaite donc exposer ci-dessous les découvertes effectuées par le docteur Ryke Geerd HAMER concernant cinq lois biologiques fondamentales, faisant complètement évoluer la compréhension de ce que l’on appelle maladie. Il a permis de mettre en évidence que ces dernières résultent d’événements soudain et stressant.

Première loi

Pour aider à la compréhension, nous allons utiliser un schéma avec une ligne qui représente le passage du temps (secondes, minutes, heures, jours, mois ou années).

Au-dessus de cette ligne est représenté le système nerveux sympathique et au-dessous de cette ligne est représenté le système nerveux parasympathique. Habituellement, nous sommes dans ce que l’on peut appeler un état de normotonie qui peut être représenté ainsi

Au cours de cet état, il peut arriver qu’un événement inattendu soudain nous prenne par surprise et qu’on le vive dans un état d’isolement. Cet événement qui sera vécu au niveau psychique va générer un conflit biologique que l’on nommera DHS (Dirk Hamer Syndrom)

Deuxième loi

Suite au DHS, le corps va se mettre dans un état de sympathicotonie afin de nous aider à résoudre ce conflit à temps. Dans cet état la personne va continuer à réfléchir sur ce qui s’est passé (pensée obsessionnelle). Pendant cette phase de conflit actif (CA), sauf rares exceptions, il n’y aura aucun symptôme. Elle prendra fin, lorsque le conflit sera résolu. On nomme cette phase conflictolyse (CL).

La conflictolyse marque l’entrée vers une deuxième phase où, contrairement à la première, c’est le système parasympathique qui est activé. C’est pendant cette phase, que l’on nommera PCL (post-conflictolyse), que l’on observera l’apparition de différents symptômes physiques et psychiques. La durée de cette phase sera égale à la durée de la phase CA ! En d’autres termes, mêmes si cela ne paraît pas, puisque c’est pendant la phase PCL que les symptômes des problèmes apparaissent, il s’agit d’une phase de solution !

Troisième loi

Au cours des phases CA et PCL, les cellules de notre corps vont subir différentes altérations structurelles et fonctionnelles (prolifération de certaines cellules, nécrose ou ulcération, hyperfonctionnement ou hypofonctionnement de certains tissus).

Quatrième loi

Pendant la phase PCL, le corps va activer certains champignons, bactéries ou virus, car ils optimisent la phase de solution ! Par exemple, les champignons vont aider à réduire les tissus qui auront proliférés pendant la phase CA etc…

Cinquième loi

Le docteur HAMER, l’a également appelé quintessence puisqu’elle nous rappelle que tous ces programmes spéciaux activés au cours de la phase DHS ont un sens biologique spécifique, qui permet d’assurer la survie de l’individu et de le ramener dans une phase de normotonie…

Parmi tous les évènements que vit une personne, seuls certains éléments déclencheront un DHS. Il s’agit de conflits qui seront vécus comme : Inattendu, Soudain, Aigu, Dramatique, Vécu dans l’isolement

Il est important de faire la distinction entre ces conflits qui vont produire une difficulté biologique dans le corps d’une personne et les conflits psychologiques générés par le désir de satisfaire un besoin mais qui ne peut aboutir. En effet, bien qu’inconfortable pour l’individu, ils n’ont pas la capacité d’activer un DHS.

Les conflits biologiques qui peuvent déclencher un DHS (s’ils sont vécus de façon inattendue, soudains…) sont :

Les conflits du « morceau »
Les conflits de se « sentir attaqué »
Les conflits de « dévalorisation de soi »
Les conflits de « territoire et séparation »

RESOLUTION DES CONFLITS EMOTIONNELS - Conflits du « morceau »

Au niveau émotionnel, il s’agit de tous les conflits qui, pour n’en nommer que quelques-uns, donnent le sentiment :

De ne pas pouvoir digérer le morceau
De ne pas pouvoir avaler le morceau
De peur-panique de mourir
D’incapacité à attraper le morceau

Ils toucheront toutes les fonctions vitales qui sont liées au fait de : manger, digérer, assimiler, éliminer, évacuer, écouter et se reproduire.

RESOLUTION DES CONFLITS EMOTIONNELS - Conflits de se « sentir attaqué »

Ces conflits sont liés au sentiment d’être attaqué dans son intégrité par tout ce qui est extérieur à l’individu. Émotionnellement, ils donneront le sentiment :

De ne pas vouloir le contact. D’attaque de son intégrité
De défiguration zonale
D’attaque contre le cœur…

Ils vont toucher les tissus qui jouent un rôle de protection (peau, péricarde, péritoine…)

RESOLUTION DES CONFLITS EMOTIONNELS - Conflits de « dévalorisation de soi »

Ces conflits sont liés au sentiment de ne pas réussir, de ne pas être à la hauteur, de ne pas y arriver… Émotionnellement, ils donneront le sentiment :

De dévalorisation au niveau intellectuel. De ne pas sentir à la hauteur
D’avoir été mis hors-jeu. De perte d’une personne.
D’avoir un boulet
De ne pas être capable de se débarrasser d’une situation….

Ils touchent les tissus jouant un rôle dans la croissance et le renforcement de l’individu (les os, cartilages, système lymphatique, muscles striés…)

RESOLUTION DES CONFLITS EMOTIONNELS - Conflits de « territoire et séparation »

Ces conflits sont liés au sentiment de lutte. Émotionnellement, ils donneront le sentiment :

De menace de territoire. De ne pas pouvoir marquer son territoire
De séparation
De ne pas avoir le droit de se défendre…

Ils vont toucher les tissus qui jouent un rôle de délimitation de territoire et de séparation (l’émail dentaire, le col de l’utérus et le vagin, la peau, les cellules nerveuses…)

RESOLUTION DES CONFLITS EMOTIONNELS - Le conflit actif (CA)

Pendant la phase du conflit actif, le système nerveux sympathique va être hyper stimulé afin que l’événement inattendu soit résolu. Dans cet état, l’individu va ruminer le problème en question. Il y pensera même la nuit et pourra être réveillé entre une et trois heures du matin. Il pourra ressentir une petite fatigue, une perte d’appétit et/ou une hyperactivité. Mais à part cela, il se sentira bien et n’aura pas de symptômes puisque toutes ses énergies sont tournées vers la résolution de son problème (DHS)

RESOLUTION DES CONFLITS EMOTIONNELS - La conflictolyse (CL)

En d’autres termes, il s’agit de la résolution du problème. Elle peut survenir de différentes façons : la personne se met en position de pouvoir enfin sortir de ce qui s’est passé, elle peut faire face à la situation ou alors les circonstances extérieures évoluent favorablement. Cette dernière représente un soulagement ou une solution.

A ce stade, un travail intérieur « sur Soi » pourra apporter les informations ou fréquences qui vont déclencher cette conflictolyse. S’en suivra pour la personne l’entrée dans une phase de post conflictolyse.

RESOLUTION DES CONFLITS EMOTIONNELS - La post conflictolyse

Elle survient après la résolution de problème et représente la phase de guérison. Pendant cette phase, c’est le système nerveux parasympathique qui est activé. En règle générale, les symptômes qui accompagnent cette étape sont de la fatigue. Les mains, les pieds et la peau deviennent chaud. Puis certains symptômes commencent à apparaître, amenant la personne à consulter son médecin (rhume, bronchite, eczéma, gastrite, hépatite, cystite, psoriasis, pleurésie, conjonctivite, myopie, lombalgie, rhinite, maux de tête, arthrite…)

Il est important de préciser qu’au milieu de cette phase PCL, il y aura toujours un pic sympathicotonique que l’on nommera crise épileptoïde (CE). Ce pic fait partie de la phase de guérison et se manifestera surtout par des symptômes très frappant et aiguë (colique néphrétique, colique hépatique, colique intestinale, attaque de panique…). La durée de cette crise varie entre 10 secondes et 4 heures. Après la fin de cette crise, la personne repassera en phase PCL mais les symptômes seront moins intenses, jusqu’à ce qu’il retourne à la normotonie.

Ainsi, ce que nous appelons « problème » n’est pas nécessairement quelque chose qui ne va pas, mais au contraire, cela peut être la réponse logique à un événement particulier qui s’est produit dans notre passé… Le facteur temps, qui intervient dans cette observation nous empêche souvent de faire le lien entre une maladie et sa cause psychique ; mais ce lien est bien réel et il est primordial de le comprendre !

Au cours de mes consultations, je constate souvent que nous pouvons mettre un mot sur une émotion vécu par la personne. Cela me permet de dire que nous pouvons sortir la personne d’un état d’effet (ou elle subit les évènements) pour la transporter à un état de résolution dans lequel elle transcende les événements. Ainsi, progressivement, la personne entre dans une phase de résolution des problématiques et trouve des réponses adaptées.

RESOLUTION DES CONFLITS EMOTIONNELS - Rechute du conflit

Il est important de préciser qu’au moment où le choc émotionnel apparaît (DHS), la personne enregistre inconsciemment tous les signaux qui accompagnaient ce DHS. Par exemple, si la personne se promenait au bord de l’eau lorsque cela s’est produit, elle va fixer toute une série de signes (bruits de l’eau, sonnette d’un vélo…). Si ces signaux réapparaissent dans le futur (groupés ou isolés), ils réactiveront la réaction biologique et les symptômes se manifesteront à nouveau, même des années après…

RESOLUTION DES CONFLITS EMOTIONNELS - Cas clinique N°1 : transpiration

DHS : on me critique et on m’attaque verbalement. Je me sens attaqué.
CA (conflit actif): je transpire beaucoup, mais je ne sens pas mauvais (car dans la nature une proie qui doit échapper à son prédateur ne doit pas émettre d’odeur sinon elle pourrait être retrouvée).
CL (conflictolyse) : je m’éloigne de ces personnes, j’arrête de les voir.
PCL (post-conflictolyse) première partie : il y a une réduction de la fonction des glandes, ma peau est plus sèche que lorsque j’étais en CA.
CE (épi-crise) : je peux sentir un tremblement à l’intérieur de mon corps, non perceptible de l’extérieur.
PCL deuxième partie : ma transpiration a une mauvaise odeur (la menace est loin).
Normotonie : ma transpiration redevient normale

Si la durée entre le DHS et le CL a été de deux jours alors la deuxième partie de la PCL durera environ un jour (période pendant laquelle le déodorant n’aura pas été efficace). Si une récidive se produit, ce qui est fréquent chez certaines personnes, elles continueront presque constamment à avoir une odeur désagréable…

RESOLUTION DES CONFLITS EMOTIONNELS - Cas clinique N°2 : céphalée

DHS : je suis intellectuellement dévalorisé, je n’y arrive pas, quelqu’un me dit que je me suis trompé…
CA : je n’ai aucuns symptômes, mais je suis inquiet et pensif au sujet du conflit.
CL : je me sens capable, j’y arrive, ou bien la personne a reconnu son erreur et me revalorise.
PCL première partie : j’ai une douleur forte mais supportable de la voûte crânienne. Je me sens fatigué et las.
CE : cela concerne le mésoderme donc en règle générale je ne ressens rien.
PCL deuxième partie : réduction progressive de la douleur.
Normotonie : absence de la douleur.

Si la durée entre le DHS et le CL a été de quatre jours, la deuxième partie de la PCL se déroulera sur deux jours. Si une récidive se produit alors la personne aura des maux de tête entrecoupés de soulagement…

Les découvertes faites par le docteur HAMER dans ce domaine, ont des répercussions capitales concernant la compréhension des problèmes et notre manière de les aborder. Il l’avait d’ailleurs tellement bien appréhendé, qu’il a réussi à guérir des milliers de personnes sans aucune séance de chimiothérapie ou de radiothérapie !

Jean-Jacques CRÈVE-CŒUR a su rendre hommage à ce génie du vingtième siècle par le biais d’une petite réalisation vidéo. Je vous la transmets en la postant ici. Attention sortez les mouchoirs ça remue… Seul contre tous – La vie et l’œuvre du Docteur HAMER